Tales of Kenzera: Zau Le créateur révèle qu'il a été la cible de racisme depuis la sortie du jeu.

Si les jeux vidéo ont parcouru un long chemin en matière de diversité et d'inclusion, certains joueurs aiment malheureusement encore harceler les autres en fonction de leur sexe, de leur appartenance ethnique, de leur orientation sexuelle, etc. Abubakar Salim, créateur de Tales of Kenzera: Zau, a récemment sauté sur X pour parler du harcèlement qu'il a reçu après le lancement du jeu.

"Nous sommes confrontés à un harcèlement ciblé constant de la part de personnes qui considèrent la diversité comme une menace, de personnes qui parcourent le vaste paysage des médias modernes et décident que tout ce qui ne leur parle pas ou n'est pas centré sur eux est inutile et inauthentique" a-t-il déclaré.

"S'il y a des gens qui ne sont pas comme toi dans un jeu, je veux que tu saches que ce jeu est toujours pour toi. Si les personnages sont d'une race différente, ou d'un sexe différent, ou d'une idéologie différente, ou d'une perspective différente, cela ne veut pas dire que le jeu n'est pas pour toi. Il peut toujours être pour toi. C'est une occasion de vivre dans de nouveaux mondes riches, d'explorer des perspectives différentes, d'explorer des cultures différentes" a-t-il poursuivi.

Salim a par la suite annoncé qu'il fixerait une baisse de prix pour son jeu lors de son lancement sur Switch, estimant qu'il devrait coûter le même montant qu'une pizza.

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